Loin de ne voir que « la nuit noire ou l’aveuglante lumière des projecteurs », il importe de voir « l’espace – fût-il interstitiel, intermittent, nomade, improbablement situé – des ouvertures, des possibles, des lueurs, des ‘malgré tout’. […] Les lucioles n’ont disparu qu’à la vue de ceux qui ne sont plus à la bonne place pour les voir émettre leurs signaux lumineux. » Georges Didi-Huberman, Survivance des lucioles (Minuit, 2009)