« ÉCRIRE : MAI… EN SEPTEMBRE » – 16-18 septembre 2022 –
 » ÉCRIRE LE RÉEL « 

Domaine de Gaujac – Lézignan-Corbières & Foyer municipal de Barbaira (11800)

Parc du château de Gaujac, à l’arrière

– La présentation des ateliers figurent plus bas (dérouler la page).
Les tarifs des ateliers et de la soirée du samedi sont indiqués en bas de la page.

TÉLÉCHARGER ET IMPRIMER LE BULLETIN INSCRIPTION ECRIRE EN MAI 22 : CLIQUER ICI.

– LES LIEUX D’ÉCRIRE : MAI… EN SEPTEMBRE 2022 :

– Le Château de Gaujac est situé 1 chemin de Gaujac, 11200 Lézignan-Corbières. Ce superbe domaine privé est situé à une minute en voiture de la sortie « Lézignan » de l’autoroute A61.
Tout en étant dans la nature, le château de Gaujac bénéficie de nombreux commerces à proximité : supermarché, boulangerie, Biocoop, Comptoir des producteurs, à 1 minute à pied.
Se rendre au château de Gaujac :
. Depuis la sortie « Lézignan-Corbières » de l’autoroute A6 ou depuis Lagrasse, Fabrezan : Prendre la D.611 vers Lézignan centre ville. Au rond-point qui est à la hauteur de L’Intermarché, prendre à gauche, la 3e rue vers la station service et le Mac Do.
Le château de Gaujac est dans cet îlot de verdure en face de la station service et du Mac Do. Se présenter devant la grille blanche en face du Mac Do.
Se garer sur le parking de Mac Do.
. Depuis Carcassonne, Narbonne par la route ou Lézignan-centre :
Prendre la direction Fabrezan, Lagrasse.
Une fois que vous êtes sur la D. 611 en sortie du centre, après le rond-point du supermarché Carrefour situé à droite, prendre au rond-point suivant sur la droite également.
Ensuite même indications que ci-dessus.

– Le foyer municipal de Barbaira (11800) : C’est là une vaste salle de spectacle, située au centre du village, place du 14 juillet.
Pour s’y rendre, depuis Lézignan, prendre la D. 6113 (ex. Nationale 113) direction Carcassonne. Barbaira est le 1er village, après Capendu. Au rond-point, prendre à gauche l’entrée dans Barbaira.

INVITÉE D’HONNEUR :

l’écrivaine MARIE COSNAY sera présente durant les trois journées.

Marie Cosnay est écrivaine et traductrice. Elle a été professeur de lettres classiques, à Bayonne où elle vit. Désormais, elle se consacre uniquement à l’écriture. Elle a publié une trentaine de livres, depuis la parution en 2003 de Que s’est-il passé ? (Cheyne éditeur). Elle traduit des textes antiques ; ainsi les Métamorphoses d’Ovide (éd. de l’Ogre, 2017).
Le travail de Marie Cosnay est remarquable par sa manière très singulière d’articuler la
forme, d’une précision et d’une exigence rare, à la réflexion politique et sociale, toujours très engagée. Le langage est chez elle un outil, voire une arme, qu’elle déploie dans tous ses aspects, avec des projets littéraires toujours très ancrés dans les réalités de notre temps. Ses textes témoignent de ce qu’on voit à l’œuvre, de ce que fabrique la politique d’hier et
d’aujourd’hui.

Les publications récentes de Marie COSNAY :

Comètes et Perdrix (éditions de l’Ogre, 2021)
« Je suis écrivaine, et je vis au Pays basque. Née en 1965, et élève dans un établissement religieux quand j’étais enfant, j’ai toujours connu, par rumeurs, les périples que vous avez vécus ici, les injustices qui vous ont été faites. Après avoir lu toute la documentation sérieuse que j’ai pu trouver, les archives ici, celles du Vatican qui sont disponibles, après avoir parlé à quelques descendants des acteurs de l’époque, j’ai écrit un texte, mi-documentaire mi-fiction, qui prend comme point de départ votre kidnapping par les prêtres basques, et qui a l’ambition d’évoquer toute une période (de 1936 à 1953) à cet endroit de frontière. Je ne donne aucun élément nouveau, je n’innove pas, sauf à fictionnaliser les deux scènes où vous apparaissez: la scène de l’évasion du collège et celle du passage des Pyrénées. Le livre prend clairement parti et dénonce l’aveuglement de l’Église et de certains de ses prêtres, sans être polémique. Je dirais qu’il se veut historique. »
– « Comètes et Perdrix », de Marie Cosnay : géopolitique-fiction de l’affaire Finaly. L’écrivaine reprend à zéro cette affaire d’enlèvement d’enfants juifs en 1953, qui fit grand bruit : embardées à prévoir. Par Pierre-Edouard Peillon (Collaborateur du « Monde des livres »),  le 19 mars 2021 :
Le roman historique souffre souvent de sa situation délicate, obligé qu’il est de se tenir sur une crête entre l’anecdote et sa déformation, contraint de décalquer le passé tout en le barbouillant de romanesque. Etre simultanément transparent et haut en couleur, la chose n’est pas aisée. Peut-être vaut-il mieux donc partir d’un événement déjà strié de ­contradictions et de faux-semblants, comme dans Comètes et Perdrix, où Marie Cosnay se penche sur l’affaire Finaly.
L’histoire d’un anachronisme
Riche en duplicités et en ramifications, celle-ci s’étala entre 1945 et 1953. Elle concernait la garde de deux orphelins juifs, confiés à une résistante durant la seconde guerre mondiale. Laquelle refusa ensuite de les remettre à leur ­famille sous prétexte qu’ils avaient été baptisés entre-temps. Son refus s’enracinait dans un vieil antisémitisme : elle reprocha aux juifs d’être « une bande de lâches » ayant abandonné leurs enfants au pire moment. Comètes et Perdrix devient ainsi ­l’histoire d’un anachronisme : les deux garçons sont maintenus dans une certaine clandestinité comme si la menace rodait encore. Un abbé avoua ne rien comprendre « à ce qu’on fabrique avec ces enfants juifs à cacher alors qu’on est en 1953 ». Mais l’autrice du sidérant Cordelia la Guerre ou du fabuleux Épopée (L’Ogre, 2015 et 2018) s’intéresse précisément à cela : le préjugé comme fiction à la fois curieuse et dangereuse, comme manière de prolonger des situations historiques au-delà de leur date de péremption.
La narration de Comètes et Perdrix tracte de ce fait plus d’un poids mort : lesté par des scènes qui reviennent en boucle et criblé de flash-back, le récit s’élance ­depuis la traversée des Pyrénées ­imposée aux deux enfants le 12 février 1953, mais la majorité du ­roman se situe à des points chronologiques antérieurs. « Ah, la grande histoire, quand tu ­t’emmêles les pinceaux. » Quelques ­décalages soulignés par Marie Cosnay sont emblématiques de ce désordre. Par exemple, il a fallu attendre le 7 juin 1950 pour que les époux Finaly, déportés et ­assassinés à Auschwitz en 1944, soient déclarés morts par l’administration française. Ce n’est donc pas la romancière qui bricole l’histoire en proposant un texte habi­lement décousu, c’est l’histoire ­elle-même qui multiplie les incohérences. »

Des îles. Lesbos 2020, Canarias 2021 (éditions de l’Ogre, 2021)
Voilà le récit des deux séjours d’enquête que Marie Cosnay a réalisé pour observer au plus près, sur le terrain ce qui se passe dans les deux principaux territoires européens d’arrivée des exilés qui ont franchi les mers pour solliciter l’hospitalité de l’Europe : l’île de Lesbos en Grèce et l’île des Canaries en Espagne.
Que fait la politique d’immigration européenne aux liens, aux familles et aux corps ? Comment en rendre compte ? Que faire de la question des disparus ? L’Europe est pleine de fantômes, et c’est à partir d’eux que Marie Cosnay mène, depuis des années, un travail de terrain, et collecte la parole et les histoires des exilés.
Avec Des îles, Marie Cosnay se saisit de ce matériau rare pour tisser une réflexion magistrale autour des acteurs de la migration, avec un infini respect pour leur parole, leur capacité d’agir et leur dignité.
C’est là le premier volume d’une série d’ouvrages consacrés à une histoire orale de l’exil vers l’Europe, entre enquête de terrain et récit documentaire. Des îles est une œuvre d’une force politique et littéraire saisissante.
« Marie Cosnay, ‘Mon livre est une observation géographique de ce qu’une politique absurde fait aux individus’ », dans l’émission Par les temps qui courent, par Mathilde Wagman, France Culture : « C’est une part importante de ma vie d’être sensible à ma frontière et aux frontières, tout comme je suis sensible à l’inégalité radicale à laquelle nous sommes confrontés, moi qui peut aller où je veux avec mon passeport, alors que d’autres ne le peuvent pas. L’écriture avait toujours été un endroit de traduction ou de fiction, mais jamais un endroit dans lequel je pouvais faire récit des histoires qui m’arrivaient. Je pense que si je fais récit aujourd’hui de mes enquêtes autour des paroles des migrants, et de ce qu’on fabrique aux frontières, c’est parce que ça nous dépasse et que c’est urgent. » 

Nos corps pirogues (édition L’Ire des marges, 2022)
Sur les bords de l’Adour, dans un jardin-refuge où se mêlent les langues et les récits d’exil, un enfant apparaît. Il vient de Guinée-Conakry. Il a traversé plusieurs frontières avant d’arriver en France, au Pays basque, où Marie Cosnay croise sa route en 2017.
Après l’épopée du voyage, c’est une nouvelle bataille qu’il doit livrer pour faire reconnaître sa minorité auprès de l’administration française : un parcours fait d’incohérences, d’injonctions folles – être clair avec son histoire -, et d’espoir déçus.
« Mais la route ne compte pas s’arrêter, elle ne se pense pas avec l’arrêt. La fuite et le passage comme création. C’est ce que sait et porte l’enfant depuis dix-sept ans qu’il est né. Je vais tout recommencer, je vais recommencer l’entretien social, je vais répondre aux questions, tu veux mon histoire, alors prends mon histoire, tu veux que je te dise ce que je sais alors je te le dis, (…), j’ai sans doute mal répondu aux interrogatoires mais je vais tout répondre et tu verras, je serai un enfant. »

ENTRETIEN AVEC MARIE COSNAY réalisé par Sophie Pinot et Dominique Marin (technique), à l’occasion d’ÉCRIRE EN MAI 2022  : POUR VOIR LA VIDÉO, CLIQUER SUR CE LIEN.

LE PROGRAMME :

La librairie-partenaire LIBELLIS assurera une table de vente de livres durant toute la manifestation.

– Vendredi 16 septembre (16h-19h) au château de Gaujac : temps de réflexion-débat (réservé aux professionnels inscrits : animateurs d’atelier, enseignants, formateurs, etc. :  inscription à contact@luciole-universite.fr ) : ce temps portera sur la démarche des ateliers d’écriture en milieu scolaire, avec  Marie Cosnay, à partir de son expérience, sa pratique et sa méthode d’ateliers.

– Samedi 17 septembre et dimanche 18 septembre (de 10h à 16h30), dans les salles du château de Gaujac ou dans le parc (selon le temps). MERCI D’ARRIVER DÈS 9H30 : pour chacune des 2 journées, 8 ateliers d’écriture différents sont proposés comme autant de variations autour du thème général « Écrire le réel ».

– Samedi 17 septembre (de 18h à 23 h) au foyer municipal de BARBAIRA. MERCI D’ARRIVER DÈS 17 H 30.
. 18 h/ 19 h : rencontre-conversation
avec Marie Cosnay. Animée par Dominique Bondu.
. 19h / 21 h : repas-buffet.
. 21 h /22h30 : lecture-spectacle à partir des derniers livres de Marie Cosnay. Voix : comédiennes : Christelle LÉPINE et Mélanie PROCHASSON. Intermèdes musicaux avec Antoinette Trio.

Antoinette trio

LES ATELIERS (chaque atelier est limité à 12 participant(-e)s) ; d’où la nécessité de mentionner dans le bulletin d’inscription pour chaque journée un second choix, au cas où l’atelier retenu sera complet).

* ATELIERS DU SAMEDI 17 SEPTEMBRE :

1 – Igor CHIRAT : Les matériaux du réel.
Qu’est-ce qui – dans l’écriture – fabrique le réel ? Des traces concrètes et objectives ? Des perceptions intimes et subjectives ? Comment se saisit-on de ces matériaux et comment leur donne-t-on forme par l’écriture ?

2 – Jean-François COLONNA (INDISPONIBLE, SUITE À UNE FRACTURE DU PIED ; LES PERSONNES INSCRITES À SON ATELIER DU SAMEDI SERONT REPORTÉES À LEURS SECONDS CHOIX) : Un instantané de réalité : la photographie, l’image.

3 – Françoise FORCIOLI : COMPLET ! Du réel à la fiction ou comment le réel nourrit la fiction ?
Raconter le monde à travers des témoignages, des reportages, des images, des romans … en étant accompagnés par les voix d’auteurs, d’artistes, et même d’anonymes, dont les points de vus subjectifs se sont croisés et en écho ont inévitablement croisés, de près ou de loin nos propres vies.
En feuilletant les journaux pour en éprouver les faits divers, nous regarderons notre environnement, nous l’écouterons frémir, murmurer, gronder… Nous interprèterons le monde avec une loupe, en nous demandant comment la fiction et la non-fiction se côtoient dans toutes nos histoires humaines.
Pour mettre le monde en récit, nous convoquerons les voix de nombreux auteurs qualifiés « d’auteurs du réel » : Paul Auster, François Bon, Annie Ernaux, Jean Hegland, Laurent Mauvignier, Nicolas Mathieu, Georges Perec, Olivier Rolin…

4 – Martine IMHOFF-MARC : Écrire le réel ? C’est-à-dire : recourir à l’inventaire plutôt qu’à l’invention, partir de l’objet, s’imprégner de quantité d’événements, de faits, de faits divers, de bribes d’histoires vraies comme matériau possible pour écrire.

5 – Juliette MASSAT  : Écrire le réel : une captation ? De la tentative d’épuisement d’un lieu à l’écrit dit « documentaire », le réel ne se laisse pas facilement capturer dans une page. L’écriture, qui joue de l’illusion, des imaginaires, est pourtant ce qui parvient le mieux (ou échoue, mais essaie « au mieux ») à « rendre » le réel palpable, sensible, authentique, au plus « vrai » de la langue, du réel, de la pensée, de la perception. Comment s’y prendre ? Nous chercherons, par tentatives successives, à nous approcher au plus près du réel, avant qu’il ne s’échappe, ne nous échappe, n’échappe à la langue. Nous nous appuierons sur des textes d’auteurs ayant tenté d’accomplir cette tentative de captation. Nous mènerons cette quête par détours et tentatives, pour mieux « surprendre » le réel et se laisser surprendre par lui.

6 – Margit MOLNAR : Le plaisir de tracer.
Un atelier où le plaisir de tracer est celui du geste qui laisse des mots, des lignes courbes et droites sur le papier.
Une écriture d’autant plus réelle qu’elle est plastique et visuelle. Elle offre un plaisir intellectuel et une expérience esthétique grâce à sa sonorité et son aspect matériel.
Le langage surprend et se déploie dans sa fonction poétique.

7 – Faby ROBINSON : Écrire le réel : nos vies ordinaires.
Perec évoquait l’infra-ordinaire, « ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons… ». Les journaux ennuyaient Perec, de nos jours, les réseaux sociaux inondent nos écrans de propositions de vies plus belles les unes que les autres. Vivons-nous désormais nos vies rêvées ?
Où se situe le réel, où commence la fiction ?
Les auteurs qui nous aideront dans cette quête sont : Georges Perec, Adèle Van Reeth, Nicolas Mathieu, Claudie Gallay, Delphine de Vigan, Olivier Adam…

8 – Lionel ROUBIN : Écrire le réel ou lorsque toute écriture est engagement dans le monde.
– Le matin : observation de terrain dans le parc du château : Sous le paysage, son texte (« Le paysage commence quand on s’inquiète de l’ombre qui bouge sous les choses » – Yves Bonnefoy)
– L’après-midi : en atelier travail de reformalisation de l’écriture – Écrire, intervenir. Réécrire, pousser au plus juste cette intervention : économie du texte, écologie du texte.

* ATELIERS DU DIMANCHE 18 SEPTEMBRE :      

1 Jean-François COLONNA : (REMPLACÉ PAR LIONEL ROUBIN, CAR INDISPONIBLE, SUITE À UNE FRACTURE DU PIED) Comment à partir d’objets présentés notre imaginaire va construire un récit sous forme de Nouvelle. Quand les objets deviennent des signes. Il s’agira de travailler sur la minutie de la description et sur ce qui est caché derrière une description.

2 – Marie COSNAY : ATELIER COMPLET ! Dans cet atelier, Marie Cosnay propose un travail à partir de sa propre démarche d’écriture. Il s’agit d’articuler la forme précise que prend l’écriture à une réflexion qui s’engage dans le monde. Le langage est alors un outil, voire une arme, au service d’une démarche ancrée dans les réalités de notre temps. Il s’agit de témoigner de qu’on voit à l’œuvre, de ce que fabrique la politique d’hier et d’aujourd’hui. Un travail d’enquête est nécessaire.

3 – Christelle LÉPINE : ASSURE SON ATELIER LE DIMANCHE Les quelques personnes qui se sont inscrites à cet atelier seront intégrées à l’atelier de la 2nd choix.

4 – Blandine MARGOUX : ATELIER COMPLET ! Écrire un roman et « faire vrai », soit. Mais écrire du « vrai » comme s’il s’agissait d’une fiction, pourquoi pas ? Nous suivrons les pas et la plume de l’anthropologue Éric Chauvier dont les enquêtes et résultats de recherches sont transmués en œuvres littéraires.

5 – Juliette MASSAT  : ATELIER COMPLET ! Écrire le réel : une fiction ? Écrire le réel, c’est tenter de faire « prendre langue » au réel, parfois-même à la faveur de la fiction. Le réel écrit est une fiction dont nous sommes à la fois auteur et personnage. Cette double dimension confère au scripteur une forme d’éthique (et d’esthétique), à laquelle réfléchir ensemble : comment être pris dans le réel tout en le travaillant dans la langue, comme une matière ? Comment « rendre » (une parole, un événement, l’histoire d’une personne réelle…) sans « prendre », voire trahir ? Le réel métamorphose-il l’écriture ? L’écriture du réel peut-elle transformer le réel ? Retrouvons-nous à la croisée du réel et de l’écriture, qui est peut-être le meilleur lieu où l’on puisse se « rendre ».

6 – Margit MOLNAR : ATELIER COMPLET ! 
Récit de vie … ici présent.
Découvrir un fragment de vie réelle ou fictive grâce à la composition des paragraphes inspirés de l’instant «  »ici -maintenant » »…
Le «  »comment » », toute la saveur de la création, découle d’une cascade de surprise.

7 – Mélanie PROCHASSON : ATELIER COMPLET ! Écrire le réel. N’y aurait-il pas comme un impossible oxymore dans cette proposition même ; l’écriture (de fiction) étant la proposition subjective d’une lecture du monde là où le réel (res) serait la chose qui est, qui existe, qui est là. Pour autant, proposer sa lecture du monde (toute subjective soit-elle) s’appuie bien sur l’observation de ce qui nous entoure de façon tangible. Partant de ces réflexions, nous explorerons à travers différents procédés d’écriture (prose et poésie) les questions de transformations, d’augmentations, d’omissions, dans la perspective de donner sa vision du réel. Ce travail d’écriture se fera en lien avec des lectures de textes d’auteurs ayant abordé cette thématique.

8 – Fabienne RICHARDOT : INDISPONIBLE

Château de Gaujac- un salon

Parc du château de Gaujac, à l’arrière

– RESTAURATION :

– Samedi et dimanche midi : repas libre dans un des nombreux restaurants et cafés-brasseries et restauration rapide à proximité ; sandwiches en vente aux alentours.
– Samedi soir : dîner buffet proposé au Foyer municipal de Barbaira compris avec l’inscription à la soirée et aux ateliers.

– HÉBERGEMENT :

Nombreuses possibilités d’hébergement à tous les prix dans les alentours. Renseignements : Office de tourisme intercommunal de la région lézignanaise, 2 rue Guynemer 11200 Lézignan Corbières. 04 68 93 78 18.
Gîtes et chambres d’hôtes à partir de 35 € la nuitée à Lézignan et les environs : Argens, Conilhac, Fabrezan, Ferrals, Montserret, etc. Possibilité  de loger à Gaujac (6 personnes. C’est complet !)

Quelques exemples (Attention : les lieux les moins chers doivent être réservés très rapidement) :

– Possibilité de se loger sur place au château de Gaujac (quelques rares chambres disponibles. Draps fournis. Obligation de réserver pour 2 nuits minimum. RÉSERVER AU PLUS VITE auprès de Mme Dominique de Talancé au 06 84 97 90 72) :
. Chambre « perroquet » au 1er étage, comportant 4 lits d’une personne et une salle de bain ; tarif : 80 € la nuit.
. Chambre au 1er étage, avec un lit double et un lit pour une personne, et un simple cabinet de toilette ; tarif : 70 € la nuit.
. Chambre au 1er étage comportant un lit double et un simple cabinet de toilette ; tarif : 70 € la nuit.
. Chambre au 1er étage comportant un lit double. Douche et WC dans le couloir ; tarif : 60 € la nuit.
. Chambre au 2e étage, comportant 3 lits d’une personne. Salle de bain attenante à partager avec l’autre chambre ; tarif : 60 € la nuit.
. Chambre 2e étage comportant 2 lits superposés. Salle de bain attenante à partager avec l’autre chambre ; tarif : 60 € la nuit.

– Nous vous recommandons également LA MAISON DU RUISSEAU, 6 RUE DES VIGNES, À CONILHAC , à 5 minutes de Gaujac. www.maisonduruisseau.com. Cette superbe maison propose 3 chambres d’hôtes tout confort. Ce sont des gens passionnés par l’art et la littérature et les chambres d’hôtes sont liées à une superbe galerie d’Art.
Tarifs :
1 chambre avec 1 lit double 60€
1 chambre avec 1 lit double 60€
1 chambre/suite avec 3 lits simples, 70€ pour 2 pers. 90€ pour 3 pers.
Le petit déjeuner est offert.
Contact : Philippe Immel 04 68 27 17 83 /06 72 57 54 17 philippe.immel@gmail.com

– Camping la Pinède (à 2 km de Gaujac ; rue des Rousillous 11200 Lézignan. Camping agréable : emplacement entre 4 et 7 € la nuitée ; location tente lodge duo : 48 € ; tente lodge 4 personnes : 38 € la nuitée, etc. la nuitée) : www. campinglapinede.fr – 04 68 27 05 08
– Auberge FLYZONE (à 1,5 km de Gaujac : dortoirs partagés de 6 lits : autour de 18 euros la nuit : Lieu Dit Aérodrome, PLAI Conhilac, 11200 Lézignan Corbières – 04 68 48 20 41
– Hôtel Relais des Corbières (à 2 km de Gaujac ; route 6113 direction de Narbonne ; chambres tout confort à partir de 64 €) : 04 68 27 00 77
– Maison d’hôtes Le Sillon d’Alaric (à 800 mètres de Gaujac, 38 avenue Maréchal Foch, Lézignan ; chambres tout confort à partir de 55 € petit déj. inclus) : http://le-sillon-dalaric.com/ – 04 68 27 60 80 – 06 07 05 74 43 (à partir de 68€)
– Hôtel Le Mas de Gaujac (à 300 mètres de Gaujac : 13 Rue Gustave Eiffel, 11200 Lézignan-Corbières : chambres bon confort : environ 75 € la nuit) : 04 68 58 16 90
– Hôtel Le Tournedos (à 500 mètres de Gaujac. Rond-point de Lattre-de-Tassigny 11200 Lézignan-Corbières chambres bon confort entre 52 € et 63 € la nuit) : 04 68 70 29 19
– Chambres d’hôte Maison Allène Bed and Breakfast (à 1 km de Gaujac ; au centre ville, 6, rue du 24 Fevrier
11200 Lézignan-Corbières – Chambres tout confort à 90 €) : 04 68 27 14 48
– Chambres d’hôte L’Émeraude (à 800 m de Gaujac ; au centre ville, 18 rue Ampère – 11200 Lézignan Corbières. Chambres tout confort à 69 €) : 06 13 28 50 67.

– TARIFS : 4 formules possibles au choix :

* FORFAIT COMPLET WEEK-END des  16-18 SEPTEMBRE (les 2 ateliers d’une journée des 17 et 18 septembre + la soirée du samedi 17 septembre, comprenant la rencontre avec Marie Cosnay + repas + lecture-spectacle) : 50 EUROS.

 * FORFAIT POUR UNE SEULE JOURNÉE ET LA SOIRÉE DU 17 SEPTEMBRE (un atelier du 17 septembre ou 18 septembre + la soirée du samedi 17 septembre comprenant la rencontre avec Marie Cosnay + repas + lecture-spectacle) : 42 EUROS.

 * DEUX JOURNÉES D’ATELIER (SAMEDI ET DIMANCHE) : 30 EUROS

* UNE JOURNÉE D’ATELIER : 22 EUROS

– LES COORDONNÉES :

ASSOCIATION LUCIOLE (antérieurement Porte-Voix), Attention ! C’est une nouvelle adresse. Mairie, place F. Mitterrand, 11800 BARBAIRA. www.luciole-universite.fr – contact@luciole-universite.fr ou lucioles.lagrasse@gmail.com.

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